JB Vatelot

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Un cri de révolte dans la nuit

le 11 mars 2004

Par Jennifer Velsch

mardi 11 mai 2004

Comment des êtres humains ont-ils pu commettre de tels actes à madrid en ce 11 mars 2004 ?
Bien que la question soit aujourd’hui sans réponse, on est en droit de s’interroger et de s’indigner surtout...

Les attentats du 11 mars 2004

Je souhaite réagir au sujet de ces attentats qui ont eu lieu le 11 mars 2004 à Madrid. Je voudrais savoir pourquoi ces terroristes inconnus, que ce soit des membres de l’ETA ou autres, tuent des personnes innocentes. Pour se venger ou pour exprimer quelque chose ? Mais quoi ? Je pense qu’il y a d’autres moyens pour se faire entendre ! Je suis scandalisée par le comportement barbare de ces personnes.

Lorsque je revois des images du 11 septembre 2001 à New-York ou celles du 11 mars 2004 à Madrid, je me dis que ce ne sont pas des êtres humains qui ont pu commettre de tels actes. Et pourtant, les faits sont là ...
Ce sont bien eux les seuls responsables. Pourquoi avoir tué tous ces gens ? Au nom de quelle cause ? Quelle "noble" cause peut autoriser cela ? Un massacre pareil ?
Est-ce que les responsables de ce carnage aveugle se sont souciés du malheur qu’ils allaient faire s’abattre sur tout un peuple, sur des familles entières ? Du chagrin d’un père, d’une fille, d’un enfant ? Des larmes ? Du deuil absurde ? JAMAIS ...

Leur seul but est de tuer, de choquer, de terroriser. Mais comment pouvons-nous fermer les yeux ? Faire comme si de rien n’était ?
Si personne ne réagit, alors la vie n’aura plus aucun sens, il y aura sans cesse la guerre, sans cesse des morts qui seront oubliés par l’Etat alors que leurs familles meurtries ne s’en remettront jamais !

Je voulais simplement exprimer ma colère en voyant ces images et en sachant que ces actions inhumaines se déroulent presque chaque jour dans différents pays !
Quelque soit la forme de ces attentats, et par qui ils sont revendiqués, jamais je n’en comprendrai le sens et le but. Ce ne sont que des actes de barbarie à mes yeux. Le dégoût m’emplit de tristesse. Un silence de mort. Un silence affreux.

Jennifer VELSCH, classe de Troisième A

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