Depuis des générations, des prémices, les premières civilisations,
Une majorité qui n’en est pas une
Impose sa domination,
A une minorité qui n’en est pas une,
Et subit l’oppression.
A toi petit homme noir,
L’injustice t’a pris la vie,
L’illusion fait partie de ton désespoir,
Et l’idée de liberté t’envahit.
Il faut faire cesser toutes ces inégalités,
Finis les travaux dans les champs de coton,
Fini le temps où les chaînes enlevaient la parité.
Pourras-tu leur accorder leur pardon ?
Les hommes peuvent être cruels,
Mais pourquoi procéder à la maltraitance ?
Parce qu’ils préfèrent la couleur de la neige éternelle,
Tant de méfiance, pour une histoire de différence.